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Afrique sur Bièvre au festival Cinémas d’Afrique à Angers

Du 2 au 7 avril 2019, le Grand Théâtre accueillait en plein centre d’Angers la 17e édition de Cinémas d’Afrique.

Ce festival qui a lieu tous les deux ans, peu après le FESPACO,  présente une sélection de courts et longs métrages récents, réalisés par des cinéastes de tout le continent. C’est un grand moment d’échanges et de rencontres avec les réalisateurs, un événement unique qui irrigue toute la ville et multiplie les occasions de fête et de partage au centre et dans les quartiers, pour montrer « une Afrique qui bouge et invite à voir le monde autrement ». Si le festival se pérennise d’une édition à l’autre, c’est grâce au dynamisme des organisatrices, au soutien de la ville d’Angers et à la centaine de bénévoles qui s’y investissent au cours de l’année.

Dix membres d’Afrique sur Bièvre avaient fait le voyage pour visionner les films, rencontrer les réalisateurs et l’équipe du festival et établir des contacts dans le cadre de la préparation de notre propre festival Ciné Regards Africains. Ils en sont  revenus très satisfaits à tous égards !

Au programme :
– Des longs et courts métrages de tout le continent  (7 longs métrages et cinq courts en compétition en 2019)
– Deux jurys (un jury du public et un jury jeune) avec 4 prix
– Une programmation jeune public
– Des ateliers de pratique artistique
– Des conférences
– Des expositions
– Un temps de valorisation de projets portés par des jeunes (Projets Bled)
– Des festivités
– Et bien d’autres choses encore.

Palmarès officiel de Cinémas d’Afrique 2019 :

 Prix Jury Jeunes :

Courts-métrages : Black Mamba  de Amel Guellaty (Tunisie) et une mention spéciale pour Sega de Idil  Ibrahim (Sénégal)
Longs-métrages : Mabata Bata de Joan Luis Sol de Carvalho (Mozambique)

Prix du Public :

Courts-métrages : Black Mamba de Amel Guellaty (Tunisie)
Longs-métrages : Les charognards (Duga) de Abdoulaye Dao- Hervé Eric Lengan Burkina Faso

Sélection des jeunes programmateurs  (destinée à une projection dans les quartiers)

Sega de Idil  Ibrahim (Sénégal)
Le mil de la mort  de Jaloud Zainou Tangui (Niger)

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